« Écrire induit une négligence, une atrophie des arts de la mémoire. Or, c’est la mémoire qui est “la Mère des Muses”, le don humain qui rend possible tout apprentissage... Dans une veine plus générale, ce que nous savons par cœur mûrira et se déploiera en nous. Le texte mémorisé interagit avec notre (...)